Насколько мне известно, продолжает успешно .
Имхо, такие люди, как НМЦ, последовательно идут к цели.
Про таких ещё говорят "летящий снаряд" (ничем не остановишь).

Ув-я  Тамара 0201
Ссылку Вам послала в ЛС
Если что, набираете в яндексе  Павел Ященков, первая строчка выпадает все его статьи.  Берете от 04января Балет со следами морфия.. ….. Часть 3
Не ведитесь, там  где он говорит «хорошие слова»  Технологии так и действуют Сначала надо создать устойчивую аудиторию и узнаваемое  имя. Для этого надо писать много и  «умеренно  профессионально». Чтобы зритель по инерции  «хавал» как выражался Б.Титомир, а потом  залепить  уже полное бесчинство, по указанию хозяев.  Потом он приткнется  на время и опять будет выдавать умеренно хорошее, усыпляя бдительность простого зрителя. Это как террорист с  канализационной  амуницией,  сидящий в засаде и периодически  запускающий свой фекальный насос  в нужный политический момент. (А еще форумчане говорили, то СМИ   как- то молчат по 500-го Щелкунчика, вот и отметили)

В Париже без иллюзий.

À Paris sans illusions Источник: http://french.ruvr.ru/radio_broadcast/5 … 258794597/
Свернутый текст

    Aujourd’hui à Paris le public du Palais Garnier peux admire pour la dernière fois le ballet du théâtre Bolchoï – la tourné, si attendu autant par les Russes, que par les Français, se termine.

    Cette année le Bolchoï a préparé une carte pas très variée, mais toujours festive. À l’affiche un seul ballet, pourtant jamais vu en France – « Les illusions perdues». Ce roman chorégraphique a été exclusivement crée pour le Bolchoï par le compositeur Leonid Desyatnikov et le chorégraphe Alexeï Ratmansky en collaboration avec l’équipe française, le scénographe Jérôme Kaplan, le dramaturge Guillaume Gallienne et le créateur de lumière Vincent Millet. Parmi les spectateurs de la première, qui s’est tenue en 2011 à Moscou, était présente également la directrice du ballet de l’Opéra de Paris Brigitte Lefèvre et elle s’est dit : pourquoi pas ?

    « A l’Opéra on a eu la chance d’avoir plusieurs fois le Bolchoï, c’est une collaboration assez suivie, avec des ballets très différents. En suivant cette évolution et ces rencontres je trouvais ça intéressant de présenter à l’Opéra de Paris une création du Bolchoï, d’Alexei Ratmansky. J’ai eu l’occasion de le voir à Moscou et j’ai trouvé que ça serait très intéressant pour le public français, peut être surprenant et enrichissant aussi, de pouvoir découvrir cette façon qu’il a de traiter ce roman de Balzac « les illusions perdues ».

    Cette façon de traiter le roman classique français date de 1936. Le peintre Vladimir Dmitriev a déplacé l’action du roman de Balzac à l’Opéra de Paris. Le jeune écrivain provincial Lucien devient ici compositeur, Coralie et Florine – des ballerines-rivales de l’Opéra derrières lesquelles on peu reconnaître les grandes étoiles de XIX siècle - Marie Taglioni et Fanny Elssler. Après la collision reste celle de Balzac. En mettant tout en oeuvre pour gagner la gloire et la reconnaissance Lucien perd son amour ainsi que toutes ses illusions. Le ballet sur le libretto de Dmitriev a été présenté au Théâtre Kirov – le Mariinsky d’aujourd’hui, mais est vite disparu du répertoire. Et après plus de 70 ans le ballet a déménagé à Moscou dans une version moins idéologique, plus humaine et tout à fait contemporaine. Le directeur du ballet du Bolchoï Serguei Filin avoue qu’il y avait matière à s’inquiéter, mais, comme on dit en France, qui n’a rien, n’a rien à perdre :

    « Aujourd’hui nous avons amené un spectacle réfléchi et abouti. L’un des rôles du Théâtre Bolchoï c’est d’éduquer son public, de donner une chance de voir des ballets absolument originaux. La musique de Desyatnikov est très profonde, la chorégraphie de Ratmansky est bouleversante. Ce sont les artistes qui transmettent l’histoire des Illusions perdues au public, et la récompense c’est leur gloire, ils la méritent, car ils sont merveilleux »

    Parmi ceux qui ont ébloui le publique de l’Opéra il y a l’étoile invitée du Bolchoï Diana Vichneva, les principaux Vladislav Lantratov et Artem Ovcharenko, le couple sur la scène et dans la vie Anastasia Stashkevich et Vyacheslav Lopatin, les ballerines bien connues à Paris - Ekaterina Krysanova, Evgenia Obraztsova et Ekaterina Shipulina, et un American David Hallberg – premier artiste étranger depuis au moins un siècle qui a réussi de devenir « principal » au Bolchoï. Durant cette tourné il a pris une autre hauteur : Hallberg a débuté dans le rôle de Lucien qui semble lui aller comme à personne d’autre.

    « J’ai moi même beaucoup d’ambitions et mon personnage « Lucien » est lui aussi très ambitieux. C’est donc très personnel pour moi. Lui va jusqu’à vendre son âme. Trouver ce personnage pour moi c’est très intéressant, car il est très complexe, c’est quelqu’un qui donne tout ce qu’il a pour aller de l’avant dans la vie. »

    Pour ceux qui n’ont pas pu voir les « Illusions perdues » sur la scène de l’Opéra de Paris, le rendez-vous aux cinémas est fixé le 2 février pour une retransmission directe du Théâtre Bolchoï de Moscou.
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/radio_broadcast/5 … 258794597/

Лучше бы он молчал !

    Le directeur du ballet du Bolchoï Serguei Filin avoue qu’il y avait matière à s’inquiéter, mais, comme on dit en France, qui n’a rien, n’a rien à perdre Lire la suite
    Директор балета Большого театра Сергей Филин признает, что это было предметом для беспокойства, но, как говорят во Франции, кто не имеет ничего, ничего не теряет.

Это ж надо, приехать на гастроли со словами "нам терять нечего" Это он о репутации Большого театра? Или о своей собственной?